Toute l'actualité

Live Support
  • Enregistrement

26/03/14 - Article Journal du Net - Comment la DSI peut être amenée à revisiter ses pratiques dans une logique "e-marketing" afin de fidéliser ses clients internes et ainsi améliorer de manière continue la qualité de ses services.

Le catalogue de services numériques de la DSI doit attiser l’expérience client

Dans un contexte exigeant d’amélioration de la qualité de service permanente et face à l’agilité IT souhaitée par les Directions métiers, il devient de plus en plus courant pour les Directions des Systèmes d’Information de proposer à leurs clients internes un catalogue de services numériques.

Le client-utilisateur est volatile, toute la palette de services externalisés proposée actuellement par de nombreux fournisseurs (Cloud, infogérance, développement sur-mesure, sites internet prêts à l’emploi…) lui confère la curiosité d’aller voir « ailleurs »si le service ne serait pas meilleur, plus lisible et surtout plus facile d’accès. Nous pouvons identifier dans ce risque, le concept de Shadow IT, c’est-à-dire l’utilisation par les directions métier de dispositifs informatiques non référencés par les directions des systèmes d’information.

En effet la démarche d’implémentation d’un catalogue de service au sein d’une organisation, mise en valeur par les bonnes pratiques ITILV3, reste loin d’être anodine. Facteur de transformation des organisations, elle pousse raisonnablement la DSI à repenser ses processus pour cadrer avec les attentes des utilisateurs et à valoriser l’ensemble de son offre de services.

A l’heure où l’utilisateur-client demande plus d’exigence sur la qualité de l’expérience vécue via ces dispositifs numériques dans une logique d’appropriation des solutions apportées, on peut se poser la question de réfléchir autrement l’approche catalogue de services pour toujours mieux répondre aux attentes des utilisateurs.

Etre ambitieux et commencer simple…

La DSI doit pouvoir concevoir et proposer les services au-delà de sa propre capacité interne pour couvrir l’ensemble du périmètre utile pour les clients, et ainsi concentrer une offre de services facilement identifiable par les clients. Il serait alors possible de greffer un service cloud accessible directement dans le catalogue de services internes permettant de bénéficier de niveaux de service auto-adaptatifs tout en restant encadrés…

Définir une accroche simple, basée sur une expérience utilisateur web intuitive, avec des services de « tête de gondole » semble être une bonne stratégie pour capter l’essentiel des besoins clients, augmenter la qualité de service et développer l’attractivité de la DSI fidélisant dans le même temps le client. Cela doit évidemment passer par la mobilité ! Quoi de plus simple et agréable que de pouvoir commander un service depuis son smartphone à partir d’un « magasin de services » où que l’on soit avec l’engagement attendu et la confirmation reçue par mail sur le même terminal (multicanal) ! En déplacement, pourquoi ne pas avoir la possibilité d'être rappelé par le support IT directement en activant une demande de call-back depuis l'interface mobile ?

Aider à transformer la relation client en expérience client

Selon une étude réalisée par Interactive Intelligence sur l'expérience client en 2013, la rapidité, simplicité, fluidité des informations et des interactions, ainsi que la cohérence du parcours client sont les principales attentes des clients vis-à-vis des services proposés.

Dans le même esprit, le catalogue de services numériques, qui peut-être aussi utilisé pour le marketing interne de la DSI, doit lui permettre d’aider à transformer la relation client-fournisseur vers une véritable expérience client. Le parcours réalisé entre la demande de service et la clôture client devrait alors largement d’inspirer de ces principes de fluidité et de cohérence permettant alors de créer un souvenir que l’utilisateur va garder et partager comme une expérience authentique.

Laisser l’utilisateur partager son expérience client sur les réseaux sociaux… internes !

L’étude précédente tend aussi à montrer que les clients s'expriment davantage sur les réseaux sociaux pour partager une expérience positive (59%). Très intéressant quand il s’agit de conduire le changement et de pouvoir compter sur ces ambassadeurs pour valoriser les services rendus par la DSI.

Des éléments à ne pas oublier d’intégrer dans l’analyse de la satisfaction client pour adapter le catalogue de services en conséquence.

 

 Voir article d'origine ici

Article 12/03/14: UBIFRANCE organise des rencontres d'affaires les 18 et 19 mai à Alger 


 

L'agence française pour le développement international des entreprises (Ubifrance), par le biais de son bureau d'Alger, organise les 18 et 19 mai prochain à Alger, des rencontres d'affaires sur les opportunités d'investissement et de partenariat dans le domaine des technologies de l'information et de la communication.
Il s'agira plus précisément de cibler les segments qui offrent de grandes potentialités en la matière, en l'occurrence, les logiciels, et l'intégration de solutions informatiques.

Les données fournies par l'agence indiquent que l'État algérien a consacré d'importants moyens financiers, soit près de 5 milliards d'euros, « pour réduire la fracture numérique dans le pays ».

La même source prévoit que le chiffre d'affaires des TIC prévu en 2014 devrait atteindre 2,77 milliards d'euros pour affirmer que le développement des TIC « est l'une des priorités de l'Algérie », et que « plusieurs programmes incitatifs ont été mis en place dans ce sens ».

UBIFRANCE précise que l'Agence nationale de développement des PME (AND/PME « alloue un fonds de plus de 3,8 Mds euros à l'utilisation et à l'intégration des TIC dans les entreprises, dans le cadre de la mise à niveau des PME » sachant que les « investissements technologiques et les systèmes d'information des PME et PMI sont subventionnés à 40% par l'Etat algérien soit jusqu'à 6.000.000 da par entreprise, la différence étant financée sur un crédit bonifié ». Aussi, « l'absence d'une réelle concurrence dans le secteur des TIC en Algérie constitue un avantage important pour les entreprises étrangères à la conquête de nouvelles parts de marchés », souligne l'agence.

Les statistiques de l'ANDI font état de 105 projets d'investissements déclarés dans le domaine des TIC, entre 2002 et 2012, pour un montant de 441.633 millions de dinars, soit 8.276 emplois créés.

Le chiffre d'affaires généré par le secteur des TIC en Algérie, indiquent les données de l'Agence nationale de développement de l'investissement, est de 5,5 milliards de dollars de CA alors que sa part dans le PIB est de 4 %.

L'Algérie qui s'est engagée dans une démarche de modernisation du secteur des TIC, est appelée, par conséquent, à suivre l'évolution des mutations technologiques, en cours de par le monde, pour se mettre au diapason des exigences de la nouvelle ère.

 

En effet, dans le cadre de la mise en œuvre du programme de la stratégie e-Algérie, articulée autour de treize grands axes, des besoins se sont exprimés en matière d'équipement informatique, serveurs et périphériques, de microélectronique et composants, télécommunications et les réseaux informatiques, Multimédias, services informatiques et les logiciels, commerce électronique et les médias électroniques.


26/02/14 - Article de L'expression DZ - Un mémorandum a été signé pour contrer la menace du piratage informatique.


 

Le domaine de l'informatique et des TIC en Algérie n'échappe pas au piratage et à la contrefaçon, une véritable menace pour les entreprises et les institutions nationales. Pour contrer cette menace, un mémorandum d'entente a été signé entre M.Sami Bencheikh El Hocine, directeur général de l'Onda (Office national algérien des droits d'auteurs) et M. Mourad Naït Abdesselam, directeur général de Microsoft Algérie.

 

Cet accord s'articule sur trois principaux axes: l'information et la sensibilisation au piratage, à travers l'organisation conjointe d'événements autour du thème logiciel et propriété intellectuelle, mais également par l'organisation conjointe de formations et de sessions de sensibilisation des agents de toute autorité engagée dans la lutte contre le piratage de logiciels et la prévention.

 

Microsoft mettra son expérience et son expertise à la disposition de l'Onda, pour l'accompagner dans la mission de contrôle des revendeurs de produits informatiques afin de détecter les produits contrefaits. Pour sa part, l'Onda apportera aide et assistance à Microsoft dans ses opérations de sensibilisation et de contrôle des logiciels Microsoft, utilisés au sein des entreprises et administrations.

 

Microsoft vise à établir une relation de travail avec les partenaires commerciaux, mais également avec les autorités locales et nationales de régulation, de sorte à inciter les utilisateurs des logiciels contrefaits à se tourner vers les logiciels officiels, afin que le terrain général d'activité et d'exploitation soit équilibré. 

 

L'un des plus gros défis du XXIe siècle, auxquels l'Algérie fait face, est sans nul doute celui de l'économie du savoir. Une économie numérique qui repose sur l'industrie du logiciel, et qui connaît des difficultés à se lancer malgré l'engouement des filières informatiques dans nos universités et l'importance des outils informatiques dans le quotidien des Algériens.

 

L'obstacle majeur qui freine l'élan de cette industrie, n'est autre que le piratage et la contrefaçon des logiciels.

 

En dépit de la loi algérienne reconnaissant aux programmes logiciels le statut d'«oeuvre protégée», censée contrer le piratage informatique. D'après les résultats de l'étude menée en 2011 par la Business Software Alliance (BSA) concernant le piratage mondial des logiciels, le taux de piratage de logiciels informatiques en Algérie serait de 84%, soit une perte financière estimée à 83 millions de dollars. Ainsi, sur 100 programmes installés par les utilisateurs, 84% l'auraient été sans aucune licence. 

 

Les logiciels tels que Windows, Apple ou encore les anti-virus coûtent très chers, d'où l'entrée en jeu des milieux de la contrefaçon qui achètent une version originale et font ensuite des copies. Ils inondent le marché avec des logiciels contrefaits et à bas prix, ne dépassant pas les 200 DA. Gagnant ainsi une importante somme d'argent et causant par ailleurs des préjudices financiers colossaux aux fabricants de logiciels.

 

Au-delà des pertes financières pour les fabricants de logiciels, les utilisateurs également sont exposés à des risques potentiels à travers l'utilisation de ces logiciels contrefaits. Le rapport de l'International Data Center, indique qu'un ordinateur domestique sur trois est infecté, de même que trois ordinateurs professionnel sur 10.

 

Voir l'article d'origine ici 

 

 

Nos coordonnées

WANA CONSULTING
Cité Djenane Villa n°3, Les Grands Vents, 
Dely Brahim Alger, Algerie

Tel : +213 (0)5 60 94 69 73
Tel : +213 (0)560 94 69 70

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

S5 Box

Login

Register

*
*
*
*
*
*

Fields marked with an asterisk (*) are required.