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30/11/14 - Selon une étude de Whitelane Research, 56% des entreprises françaises prévoient d'accroître leur recours à l'externalisation informatique dans les mois à venir. La réduction des coûts arrive largement en tête des raisons d'externaliser.
Dans son étude Outsourcing IT France 2013, le cabinet Whitelane Research a passé au crible 327 contrats d'externalisation IT (pour un montant combiné de 4 milliards d'euros) détenus par plus de 100 entreprises dans une grande variété de secteurs (dont 23% banque/assurance, 20% industrie, 8% secteur public...). Parmi les fournisseurs de prestations d'externalisation auxquels les entreprises font appel, on trouve Accenture, Atos-Bull, Capgemini, Econocom-Osiatis, HP, IBM, GFI ou encore OBS, Sopra-Steria ou encore TCS.
Dans les principaux enseignements de cette étude, on notera que 76% des entreprises consacrent entre 10 et 50% de leur budget IT à l'externalisation, et 14% plus de 50%. Par ailleurs, plus de la moitié d'entre elle, 56%, indiquent qu'elles vont externaliser davantage (et seulement 8% qu'elles le feront moins). La réduction des coûts arrive en tête des raisons d'externaliser davantage (80%), devant le focus sur le coeur de métier (55%), l'amélioration de la qualité de service (53%), plus de flexibilité financière (51%), la transformation du business (35%), l'accès aux ressources (35%) et plus de transparence sur les coûts (22%).
De façon générale, les entreprises françaises qui se montrent satisfaites des prestations d'externalisation fournies, en termes de gouvernance et de gestion des fournisseurs de service d'externalisation (49% satisfaites voire très satisfaites contre 6% d'insatisfaites voire très insatisfaites). De façon générale, la satisfaction envers leurs prestataires pour l'ensemble de leurs contrats d'externalisation est encore plus élevée avec 58% de satisfaits voire très satisfaits contre 5% d'insatisfaits, voire de très insatisfaits.
A noter le rôle de leader (31%) endossé par le département Achat IT dans la gestion des contrats d'externalisation existants, voire à 57% de support et d'expertise, sachant qu'il n'est pas impliqué pour seulement 10% des répondants.
